

Les livres rédigés par Sandrine Kannad

Quand les défunts me parlent, City edition, De Vinci
26 Janvier 2021
Résumé
Mon chemin vers la médiumnité, 2017
Plus disponible à la vente
Sandrine Kannad est médium clairvoyante depuis l’enfance. Petite, elle voit son guide et converse avec, sans savoir à qui elle s’adresse. Après une enfance chaotique auprès de sa mère, elle est élevée à l’adolescence par sa grand-mère paternelle. Période durant laquelle les apparitions de personnes décédées vont s’accentuer, jusqu’à un fait marquant, qui la plongera par la suite dans le déni. Après une NDE puis le décès successif de sa grand-mère, elle accepte peu à peu ses facultés. Elle nous raconte alors comment, quelques années plus tard, celle-ci réapparaît, devenant son guide au quotidien. Elle relate le récit de son expérience en tant que médium mais également en tant que bénévole dans un établissement hospitalier et nous livre un témoignage empreint d’humanité et d’espoir.

Beau témoignage
Belle découverte sur le parcours d’une médium, loin des clichés et idées reçues, beau témoignage sur les accompagnants bénévoles de l’hôpital et joyeuse invitation à vivre pleinement au-delà des souffrances et deuils que l’on traverse.
TEMOIGNAGES
« Ma messagère de l’au-delà, celle grâce à qui l’absence est plus douce, grâce à qui j’ai vécu un moment incroyable, une expérience de médiumnité que je n’oublierai jamais… Lorsque mon jeune frère nous a « quitté », une partie de moi est morte, effacée… Il y avait avant et après l’accident… une vie bouleversée à jamais pour toute la famille. Puis il y a eu ce jour merveilleux où grâce à toi nous nous sommes retrouvés lui et moi, même si j’avais déjà eu des signes… Immédiatement, tu as su me mettre en confiance quant à la réalité et au sérieux de cet échange avec lui. Tous ces détails physiques sur lui (que pour certains j’avais oublié), d’un coup je le revoyais devant moi mon frère chéri. Dès le début, tout de suite je l’ai revu devant moi.
Le détail des épis de cheveux rebelles, j’avais pourtant oublié… mais c’était exactement ça ! Idem pour le pantalon qui tombe car trop grand. C’était tellement intense. Quel échange incroyable, si drôle aussi, tout à son image d’ailleurs. J’espérais un moment comme celui-là depuis tellement longtemps… tu me l’as offert avec la générosité et l’amour qui te caractérisent. La médiumnité m’a, ce jour-là, « rendu » cette partie de moi qui avait disparu. Grâce à elle, à ce don qui est le tien, j’ai retrouvé mon frère le temps de cette expérience magnifique. Je n’ai même pas les mots pour décrire ce que tu m’as apporté, te remercier comme je le voudrais tellement je te suis reconnaissante de ce moment de bonheur intense. Sois sûre que tout ça n’est pas en vain (mais tu le sais bien) et que ton don est une bénédiction pour ceux qui comme moi attendent des nouvelles. Ce qui arrive dans la vie de ceux à qui tu donnes des nouvelles de leurs proches partis c’est de la lumière, de l’espoir…Je ne sais pas si tu te rends compte à quel point ce que tu fais apporte du bonheur, du soulagement et une joie immense, indescriptible ! Ce don est un véritable cadeau, il nous fait du bien, apporte du réconfort et nous assure que oui, nos proches bien-aimés ne sont jamais loin, juste là… tout à côté… «
Corinne B. Languedoc Roussillon
« Dès les premiers instants un homme s’est présenté. « Un carreleur ». Quel bouleversement émotionnel pour moi quand Sandrine a commencé à me le décrire. Il s’agissait bel et bien de mon grand-père paternel. Il est décédé quand j’avais dix ans et je n’avais que de brefs souvenirs de lui.
Au fur et à mesure de ce que me disait Sandrine, face à ses révélations, j’ai été prise d’une vive émotion et je me suis mise à pleurer devant tous les détails qu’elle a pu me donner. Le plus surprenant furent ceux de sa vie que moi-même je ne connaissais pas et que mon père m’a confirmé par la suite. Je peux dire que j’ai découvert sa vie au travers de Sandrine. Tout y était, sa profession, son amour de la nature et des animaux, sa maison qu’il a construit de ses propres mains autour de leur « maison provisoire « , indication soufflée étonnamment par Sandrine, la cigarette et son arrêt de fumer, un début de problème avec l’alcool qu’il a lui-même enrayé par sa propre volonté et sa maladie qui l’a conduit à l’hôpital.
J’en suis restée abasourdie mais à la fois envahie d’un sentiment de plénitude, comme si je flottais, un sentiment d’amour profond. L’impression d’être enveloppée dans ses bras. Ce fut un moment à la fois intense et magique pour moi, comme s’il était là, tout près de moi et que nous étions ensemble. Jamais je ne pourrai assez remercier Sandrine de m’avoir fait savoir tout ce que j’ai appris grâce à elle. Je sais qu’il est là, qu’il veille sur moi, j’en ai la certitude profonde. Cette expérience n’a fait que renforcer mes croyances. »
Séverine S. Auvergne Rhône Alpes